batchi73
Messages : 401 Date d'inscription : 16/06/2009 Age : 58 Localisation : St Etienne de Cuines
| Sujet: Retraite bien méritée ........ Sam 19 Sep - 17:33 | |
| Une retraite bien méritée pour cet homme pleins de génies. Père de la 916, des MV Agusta modernes et inspirateur de la firme Bimota, le "Maestro" Massimo Tamburini . Actualités - Reportages [ Frédéric Rousseau - 07/09/2009 ] Visite - Tamburini nous en a mis plein la vue ! Père de la 916, des MV Agusta modernes et inspirateur de la firme Bimota, le "Maestro" Massimo Tamburini . En début d'année, Massimo Tamburini, l'homme qui a imaginé les machines les plus novatrices de ces quarante dernières années, annonçait qu'il raccrochait. Ce qui, accessoirement, lui a donc laissé le temps de nous recevoir longuement chez lui cet été, à Domagnano, une petite commune de la République de Saint-Marin. Voici un exemple de ce qu'il nous a été donné de contempler dans le garage du "Maestro", lequel s'est, entre autres, amusé à nous dévoiler une à une plusieurs de ses motos personnelles : La méconnue Ducati 955 Bruno Sellier "(On reste) bouche bée devant la machine qu’il vient de déhousser : sur ses flancs, un numéro qui ne déparerait pas sur une Triumph Daytona d’il y a quelques années, mais qui là, accolé à ce qui ressemble en tous points à un carénage vermillon de 916, 996 ou 998, ne peut qu’interloquer. « Mais... Des Ducati 955... Ça n’existe pas... Y en a jamais eu normalement, non ? », finit par articuler l’un d’entre nous. « Eh bien si, on en a construit », répond du tac au tac Tamburini, manifestement ravi de son petit effet. « Et pas qu’une seule. Il y en a 150 exemplaires qui ont été produits chez Ducati entre 97 et 98. » Pourquoi cette série ultra-limitée est-elle restée quasiment ignorée ? « Tout simplement parce qu’elle est partie directement aux USA pour courir en championnat AMA », explique notre hôte. (…) De mémoire de Tamburini, il reste trois exemplaires en parfait état : un chez lui, deux chez Claudio Castiglioni. Une indéniable rareté, racing jusqu’au bout des carters, qui mériterait d’être détaillée jusqu’à la fin de la journée. Mais notre hôte n’en a cure, car il estime avoir encore mieux à nous montrer…" Thomas Loraschi | |
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